sabato 11 maggio 2013

Parchemin de Chinon

Traduzione Integrale Francese e in Inglese di seguito

La Pergamena di Chinon è un documento medievale scoperto nel settembre 2011 da Barbara Frale, una paleografa italiana presso l’Archivio Segreto Vaticano, il quale dimostra che nel 1308Papa Clemente V concesse l’assoluzione sacramentale al Gran Maestro Jacques de Molay nonché ai restanti maggiorenti dei Cavalieri Templari, trascinati in un processo organizzato dal re di Francia Filippo IV il Bello servendosi dell’inquisizione medievale. Il Papa tolse loro ogni scomunica e censura riammettendoli nella comunione della Chiesa cattolica. La pergamena è datata Chinon, 17-20 Agosto 1308 e fu redatta su ordine di Berengario, cardinale prete di San Nereo ed Achille, Stefano, cardinale prete di San Ciriaco in Thermis, e Landolfo, cardinale diacono di Sant’Angelo in Pescheria; il Vaticano custodisce la copia originale e autentica degli atti di quella inchiesta, con segnatura archivistica Archivum Arcis Armarium D 217, mentre una seconda copia autenticata è conservata al numero D 218.[1] Un'altra versione dell’evento, pervenuta in copia e con un resoconto dei fatti in parte alterato, era stata pubblicata da Étienne Baluze nel 1693 e da Pierre Dupuy nel 1751. Fonte Wikipedia
 
  
 
Traduction en Français de la version anglaise du parchemin de Chinon
 
 Enquête menée par les pères et  commandée par le pape Clément V ville de Chinon, dans le diocèse de Tours.

Chinon, Août 17-20, 1308  

Au nom du Seigneur, amen. Nous, Bérenger, par la miséricorde de Dieu cardinal prêtre de la SS. Nérée et Achileus et Stephanus, cardinal prêtre de Saint-Cyriaque à Therminis et Landolf, cardinal diacre de Saint-Ange, déclarent par la présente déclaration officielle destinée à tous ceux qui liront ce que, depuis notre très saint père et seigneur Clement, par la divine providence suprême Pontific de la sainte romaine et Eglise universelle, après avoir reçu le bouche à oreille et aussi des rapports retentissants de l'illustre roi de France et de prélats, ducs, comtes, barons et autres sujets du dit royaume, les nobles et les roturiers, ainsi avec quelques frères, prêtres, des chevaliers, des encadreurs et des serviteurs de l'ordre des Templiers, avait ouvert une enquête sur les questions concernant les frères, [les questions de la foi catholique] et la règle de ladite ordonnance, en raison de laquelle elle a subi l'infamie publique, le très même seigneur pape souhaiter et vouloir connaître la vérité pure, complète et sans compromis des dirigeants de ladite ordonnance, à savoir frère Jacques de Molay, grand maître de l'Ordre des Chevaliers TempAR, frère Raymbaud de Caron, précepteur des commanderies des Templiers en Outremer , le frère Hugo de Perraud, précepteur de France, frère Geoffroy de Gonneville, précepteur d'Aquitaine et du Poitou, et Geoffroy de Charny, précepteur de Normandie, a ordonné et nous a confié spécifiquement et par sa volonté exprimée verbalement afin que nous puissions avec diligence examiner l' vérité en questionnant le grand maître et les précepteurs susmentionnés - un par un et individuellement, après avoir convoqué des témoins notaires publics et digne de confiance.  

Et avoir agi conformément à son mandat et commandé par le dit Seigneur Suprême Pontific, nous avons interrogé le grand maître précitée et les précepteurs et examiné à leur sujet des questions visées ci-dessus. Leurs paroles et leurs aveux ont été écrites exactement la façon dont elles sont présentées ici par les notaires dont les noms figurent ci-dessous en présence des témoins ci-dessous. Nous avons également commandé ces choses établies dans ce formulaire officiel et validés par la protection de nos sceaux.  

Dans l'année de notre Seigneur 1308, le 6e indiction, le 17e jour d'Août, en 3e année du pontificat de ladite pape Clément V, frère Raymbaud de Caron, précepteur des commanderies des Templiers en Outremer, a été mis en Devant nous, les pères susmentionnés, à la ville de Chinon du diocèse de Tours. Avec sa main sur l'Evangile du Seigneur, il a pris un serment qu'il allait dire la vérité pure et complète sur lui-même en tant qu'individus ainsi et les frères de l'Ordre, et sur l'Ordre lui-même, concernant les questions de la foi catholique et de l'état de ladite ordre, et aussi de cinq personnes et les frères de l'Ordre particuliers. Diligemment interrogé par nos soins sur le temps et les circonstances de son initiation dans l'ordre, il a dit qu'il a fait des années quarante-trois ou à peu près comme il avait été fait chevalier et admis dans l'Ordre des Templiers par le frère Roncelin de Fos, au précepteur de temps de Provence, dans la ville de Richarenchess, dans le diocèse de Carpentras ou Saint-Paul-Trois-Châteaux, dans la chapelle de la commanderie des Templiers local. Au cours de la cérémonie, le patron rien pour le novice que ce n'était pas correct dit, mais après l'admission d'un serviteur-frère est venu vers lui dont le nom il ne se souvient pas, car il est mort depuis longtemps. Il le prit à part la tenue d'une petite croix sous son manteau, et quand tous les frères sont sortis et ils restèrent seuls, c'est ce frère-serviteur et le haut-parleur, ce frère-serviteur a montré cette croix à l'orateur qui ne se souvient pas si elle portait l'effigie du crucifix ou non, mais estime cependant qu'il y avait un crucifix peints ou sculptés. Et ce frère-serviteur dit à l'orateur: «Il faut dénoncer celui-ci." Et l'orateur, ne croyant pas lui-même en train de commettre un péché, a déclaré:. "Et donc, je dénonce" Ce frère-serviteur a également dit au Président qu'il doit préserver la pureté et de la chasteté, mais si il ne pouvait pas le faire, il était préférable de faire secrètement que publiquement. L'orateur a également déclaré que sa dénonciation ne vient pas du cœur, mais de la bouche. Puis il a dit que le lendemain, il a révélé ceci à l'évêque de Carpentras, son parent par le sang, qui était présent dans le lieudit, et l'évêque lui a dit qu'il avait mal agi et commis un péché. Puis le interrogés avoué sur ce compte au même évêque et a été affecté avec des pénitences il a complété, selon lui.  

Lorsqu'on l'interroge sur le péché de sodomie, il a dit qu'il n'a jamais été une partie de celui-ci ni exécuter ou supporter, et qu'il n'a jamais entendu que les chevaliers Templiers engagés dans ce péché, en dehors de ces trois chevaliers qui avaient été punis par l'incarcération perpétuelle dans Castle Pilgrim. Lorsqu'on leur a demandé si les frères de ladite ordonnance ont été reçus dans l'ordre de la même manière qu'il a été reçu en elle, il a répondu qu'il ne savait pas que, parce qu'il n'a jamais initié quiconque lui-même et ne vit personne d'être accepté dans l'Ordre autres de deux ou trois frères. En ce qui concerne les il ne savait pas si ils ont dénoncé Christ ou non. Quand il a été interrogé sur les noms de ces frères, il a dit que l'on avait le nom de Pierre, mais qu'il ne se souvenait pas de son nom de famille. Lorsqu'on lui a demandé quel âge il avait quand il a été fait frère de ladite ordonnance, il a répondu qu'il avait dix-sept ans ou à peu près. Quand il a été interrogé sur le cracher sur la croix et à la tête du adoré, il a dit qu'il ne savait rien, ajoutant qu'il n'avait jamais entendu aucune mention de cette tête jusqu'à ce qu'il entende le seigneur pape Clément parler de lui cette année. Quand il a été interrogé sur la pratique de l'embrasser, il a répondu que le frère Roncelin susmentionné l'embrassa sur la bouche quand il l'a reçu comme un frère, il a dit qu'il ne savait rien au sujet d'autres baisers. Lorsqu'on lui a demandé s'il voulait conserver ce qu'il avait dit lors de la confession, si cela a été fait en fonction de la vérité, et s'il avait ajouté quelque chose mensongère ou retenu tout ce qui est véridique, il a répondu qu'il voulait conserver ce qu'il avait précédemment déclaré dans ses aveux, qu'il était sincère et qu'il n'avait ni tout ce qui avait quelque chose de mensonger ni omission était véridique ajouté. Lorsqu'on lui a demandé s'il avait avoué en raison d'une demande, une récompense, de reconnaissance, de faveur, la peur, la haine ou la persuasion par quelqu'un d'autre, ou l'usage de la force ou de la crainte de la torture imminente, il a répondu qu'il n'en avait pas.  

Ensuite, ce frère très Raymbaud debout sur ses genoux, les mains jointes demandé notre pardon et la miséricorde en ce qui concerne les actes précités. Et comme il a plaidé pour, frère Raymbaud dénoncé en notre présence l'hérésie ci-dessus, ainsi que toute autre hérésie. Pour la deuxième fois, il a prêté serment avec la main sur le saint Evangile de notre Seigneur qu'il va obéir aux enseignements de l'Eglise, qu'il va maintenir, défendre et respecter la foi catholique que l'Église romaine maintient, défend et proclame, ainsi que enseigne et exige des autres pour observer, et qu'il va vivre et mourir comme un chrétien fidèle. Après ce serment, par l'autorité du seigneur pape accordée spécifiquement à nous dans ce but, nous avons étendu à ce frère demandant humblement Raymbaud, sous une forme acceptée par l'Eglise la miséricorde de l'absolution du verdict d'excommunication qui avait été engagée par le susmentionné acte, le rétablissement de l'unité avec l'Eglise et le rétablissement de la communion des fidèles et les sacrements de l'Église.  

En outre, le même jour, le frère chevalier Geoffroy de Charnay, précepteur de commanderies de l'Ordre des Templiers en Normandie, comparaître personnellement en la manière et la forme décrite précédemment, en notre présence, et en présence de notaires, ainsi que les témoins, modestement jurait avec sa main sur l'Évangile du Seigneur et a été interrogé sur la manière de son accueil dans ladite ordonnance. Il a témoigné qu'il a bien été quarantaine d'années environ depuis qu'il a été accepté dans l'Ordre des Templiers par le frère Amaury de la Roche, le précepteur de France en Étampes du diocèse de Sens, dans la chapelle de la commanderie des Templiers local. Présent à la cérémonie frère Jean le Franceys, précepteur de Pédenac, neuf, dix ou deux frères de ladite ordonnance qu'il croyait tous être morts maintenant. Et puis, une fois qu'il a été accepté dans l'ordre et le manteau de l'ordre avait été placé sur ses épaules, le frère qui a effectué la cérémonie le prit à part au sein de la même chapelle et lui montra un crucifix à l'effigie du Christ, et dit lui qu'il ne doit pas croire au Crucifié, mais devrait en fait le dénoncer. Puis le frère nouvellement admis à la demande de l'audit destinataire l'a dénoncé verbalement, mais pas dans son cœur. En outre, il a déclaré que, au moment de son intronisation, le novice a embrassé le destinataire sur la bouche et dans sa poitrine à travers le vêtement comme un signe de révérence.  

Lorsqu'on lui a demandé s'il frères de l'Ordre des Templiers, tout en étant initiés à l'ordre ont été acceptés de la même manière qu'il était, il a dit qu'il ne savait pas. Il a également dit que lui-même a reçu un frère dans ladite ordonnance par la même cérémonie par laquelle il lui a été accepté. Ensuite, il a accepté beaucoup d'autres sans la dénonciation décrite précédemment et de bonne manière. Il a également dit qu'il avait avoué au sujet de la dénonciation de la croix qu'il avait fait lors de la cérémonie d'induction et d'être forcés de le faire par le frère d'effectuer la cérémonie, le patriarche de Jérusalem de l'époque, et fut absous par lui.  

Quand diligemment interrogé au sujet de la cracher sur la croix, la pratique de baisers, le vice de la sodomie et la tête de adorait, il a répondu qu'il n'en savait rien. En outre interrogé, il a dit qu'il croyait que d'autres frères avaient été admis dans l'Ordre de la même manière qu'il l'était. Il a dit cependant qu'il ne savait pas avec certitude depuis quand ces choses ont eu lieu le nouvellement reçus ont été emmenés à l'écart afin que d'autres frères qui étaient présents dans le bâtiment seraient ni voir ni entendre ce qui se passait avec eux. Interrogé sur l'âge auquel il se trouvait lorsqu’accepté dans ladite ordonnance, il a répondu qu'il avait seize ans, dix-sept ans ou à peu près.  

Lorsqu'on lui a demandé s'il avait dit ces choses à cause de la demande, une récompense, de reconnaissance, de faveur, la peur, la haine ou la persuasion par quelqu'un d'autre, ou l'usage de la force ou de la crainte de la torture imminente, il a répondu qu'il n'en avait pas. Lorsqu'on lui a demandé s'il voulait conserver ce qu'il avait dit lors de la confession, si cela a été fait en fonction de la vérité, et s'il avait ajouté quelque chose mensongère ou retenu tout ce qui est véridique, il a répondu qu'il voulait conserver ce qu'il avait précédemment déclaré dans ses aveux au cours de laquelle il avait seulement dit ce qui était vrai, que ce qu'il disait était selon la vérité et qu'il n'a ni quoi que ce soit qui ait menti, ni tout ce qui était véridique omis ajouté.  

Après cela, nous avons conclu pour prolonger la miséricorde de l'absolution de ces actes à son frère Geoffroy, qui, dans la forme et de la manière décrite ci-dessus avait dénoncé en notre présence le décrit et toute autre hérésie, et jura en personne le saint Evangile du Seigneur, et humblement demandé la miséricorde de l'absolution, lui restauration de l'unité avec l'Eglise et le réintégrer à la communion des fidèles et les sacrements de l'Église.  

Le même jour, en notre présence et la présence de notaires, ainsi que les témoins énumérés ci-dessous, frère Geoffroy de Gonneville a comparu en personne et a été diligemment interrogé sur le moment et les circonstances de sa réception et sur d'autres questions décrites ci-dessus. Il a répondu qu'il a été 28 années ou à peu près depuis qu'il a été reçu comme un frère de l'Ordre des Templiers par le frère-chevalier Robert de Torville, précepteur des commanderies de l'ordre des Templiers en Angleterre, dans la ville de Londres, à la chapelle de la commanderie local. Et ce récepteur, après avoir donné le manteau de l'ordre des Templiers sur le ce membre nouvellement reçu, lui montra la croix décrite dans un livre et dit qu'il devrait dénoncer celui dont l'image a été représenté sur la croix. Lorsque la nouvelle a reçu ne voulait pas le faire, le récepteur lui a dit plusieurs fois qu'il devait faire. Et depuis il a complètement refusé de le faire, le récepteur, voyant sa résistance, lui dit: «Voulez-vous me jurer que si demandé par l'un des frères que vous diriez que vous aviez fait cette dénonciation, à condition que je vous permets pas le faire? "Et le nouvellement reçu répondu« oui », et a promis que si il a été interrogé par l'un des frère de ladite ordonnance, il disait qu'il avait effectué l'audit délation. Et, comme il le dit, il n'a fait aucune dénonciation autrement. Il a également déclaré que ledit récepteur lui a dit qu'elle devrait cracher sur la croix décrite. Lorsque la nouvelle a reçu n'a pas souhaité le faire, le récepteur placé sa main sur la représentation de la croix et dit: «Au moins, cracher sur ma main!" Et puisque le reçu craignaient que le récepteur enlèverait sa main et quelques grain de cette crache se mettrait à la croix, il ne voulait pas cracher sur la main avec la croix étant proche.  

Quand diligemment interrogé au sujet du péché de sodomie, la tête de adorait, sur la pratique de baisers et d'autres choses pour lesquelles les frères de ladite ordonnance ont reçu une mauvaise réputation, il a dit qu'il ne savait rien. Lorsqu'on lui a demandé si d'autres frères de l'Ordre ont été acceptés dans l'Ordre de la même manière que lui, il a dit qu'il croyait que la même chose a été faite pour d'autres comme cela a été fait pour lui au moment de son initiation décrit.  

Lorsqu'on lui a demandé s'il avait dit ces choses à cause de la demande, une récompense, de reconnaissance, de faveur, la peur, la haine ou la persuasion par quelqu'un d'autre, ou l'usage de la force ou de la crainte de la torture imminente, il a répondu qu'il n'en avait pas. Après cela, nous avons conclu pour prolonger la miséricorde de l'absolution de ces actes à son frère Geoffroy de Goneville, qui, dans la forme et de la manière décrite ci-dessus avait dénoncé en notre présence le décrit et toute autre hérésie, et jura en personne le saint Evangile du Seigneur, et humblement demandé la miséricorde de l'absolution, le rétablissement de l'unité avec l'Eglise et le rétablissement de la communion des fidèles et les sacrements de l'Église. Ensuite, sur le dix-neuvième jour du mois, en notre présence, et en présence des notaires et les mêmes témoins, frère Hugo de Perraud, précepteur de commanderies templières en France, apparaît en personne et a pris un serment sur le saint Evangile du Seigneur, en plaçant la main sur elle de la manière décrite ci-dessus. Ce frère Hugo, après avoir prêté serment comme indiqué, et étant diligemment interrogés ont déclaré au sujet de la manière de son initiation qu'il a été reçu à Londres à commandary des Templiers local, dans son église. Il avait quarante ans il ya six ans passé cette fête de Sainte Madeleine. Il a été intronisé comme un frère de l'Ordre par le frère Hubet de Perraud, son propre père, un Visiteur des commanderies templières en France et en Poitou, qui a placé sur ses épaules le manteau de ladite ordonnance. Ceci étant fait, un frère de ladite ordonnance, sous le nom de John, qui plus tard est devenu précepteur de La Muce, l'a conduit à une certaine partie de cette chapelle, lui montra une croix à l'effigie du Christ, et lui ordonna pour dénoncer le One dont l'image y était représenté. Il a refusé, autant qu'il le pouvait, selon lui. Finalement, cependant, vaincu par la peur et les menaces de son frère John, il a dénoncé l'Un dont l'image y était représentée qu'une seule fois. Et bien que Frère John plusieurs fois exigé qu'il cracher sur la croix, il a refusé de le faire.  

Lorsqu'on lui a demandé s'il avait d'embrasser le récepteur, il a dit qu'il a fait, seulement sur la bouche. Lorsqu'on l'interroge sur le péché de sodomie, il a répondu qu'il n'a jamais été prononcé contre lui et qu'il n'a jamais commis. Lorsqu'on lui a demandé s'il acceptait les autres dans l'ordre, il a répondu qu'il a fait à plusieurs reprises, et qu'il a accepté plus de gens que n'importe quel autre membre vivant de l'Ordre.  

Interrogé sur la cérémonie par laquelle il a accepté eux, il dit que, après qu'ils ont été reçus et donnés les manteaux de l'Ordre, il a ordonné à dénoncer le crucifix et l'embrasser dans le bas du dos, dans le nombril, puis sur la bouche. Il a également déclaré qu'il leur impose de s'abstenir de partenariat avec les femmes, et, si elles étaient incapables de maîtriser leurs désirs, de se joindre aux frères de l'Ordre.  

Il a également déclaré sous serment que la dénonciation précitée, lequel il a réalisé lors de l'initiation, ainsi que d'autres choses décrites qu'il exigeait de celles reçues par lui, l'a fait en paroles seulement, et non dans l'esprit. Lorsqu'on lui a demandé pourquoi il était peiné et ne fonctionne pas dans l'esprit des choses qu'il faisait, il a répondu que telles étaient les lois ou plutôt les traditions de l'Ordre et qu'il espérait toujours que cette erreur serait retiré de ladite ordonnance.  

Lorsqu'on lui a demandé si l'un des membres nouvellement reçus par lui refusé d'effectuer les crachats décrit et d'autres choses malhonnêtes énumérés ci-dessus, il a répondu que seulement quelques-uns, et finalement tout a fait comme ordonné. Il a également déclaré que, bien que lui-même chargé frères de l'ordre qu'il initia à se joindre aux autres frères, pourtant il n'a jamais fait ça, ni entendu dire que quelqu'un d'autre commettre ce péché, sauf pour les deux ou trois frères en Outremer qui ont été incarcérés pour cette dans le château de Pilgrim.  

Lorsqu'on lui a demandé s'il savait si tous les frères de ladite ordonnance ont été engagées de la même manière comme il a initié d'autres, il a dit qu'il ne savait pas avec certitude sur les autres, seulement sur lui-même et ceux qu'il a initié, car frères sont lancés dans une telle secret que rien ne peut être connu autrement que par ceux qui sont présents. Lorsqu'on lui a demandé s'il croyait qu'ils étaient tous initiés de cette manière, il a dit qu'il croyait que le même rituel est utilisé tout en initiant les autres car il a été utilisé dans son cas et lui-même administré quand il a reçu d'autres.  

Lorsqu'on l'interroge sur la tête d'une idole qui aurait été adorée par les Templiers, il a dit qu'il lui a été présentée à Montpellier par le frère Peter Alemandin, précepteur de ce lieu, et que cette tête est restée en possession de son frère Peter.  

Lorsqu'on lui a demandé quel âge il avait quand accepté dans ladite ordonnance, il a répondu qu'il avait entendu sa mère dire qu'il était dix-huit ans. Il a également déclaré que précédemment il avait avoué ces choses en présence de frère Guillaume de Paris, inquisiteur des actions hérétiques, ou son adjoint. Cette confession a été écrit de la main de la soussignée Amise d'Orléans et d'autres notaires. Il souhaite maintenir cette confession, tout comme il est, ainsi que de maintenir dans le présent confession que ce qui est en bon accord avec le précédent. Et s'il y a quelque chose supplémentaire dans cette confession devant l'Inquisiteur ou son adjoint, comme cela a été dit plus haut, il ratifie, approuve et confirme.  

Lorsqu'on lui a demandé s'il avait avoué ces choses à cause de la demande, une récompense, de reconnaissance, de faveur, la peur, la haine ou la persuasion par quelqu'un d'autre, ou l'usage de la force ou de la crainte de la torture imminente, il a répondu qu'il n'en avait pas. Lorsqu'on lui a demandé si lui, après son arrestation, a été soumis à un interrogatoire et la torture, il a répondu qu'il n'en avait pas.  

Après cela, nous avons conclu pour prolonger la miséricorde de l'absolution de ces actes à son frère Hugo, qui, dans la forme et de la manière décrite ci-dessus avait dénoncé en notre présence le décrit et toute autre hérésie, et jura en personne le saint Evangile du Seigneur, et humblement demandé la miséricorde de l'absolution, lui restauration de l'unité avec l'Eglise et le réintégrer à la communion des fidèles et les sacrements de l'Église.  

Ensuite, le vingtième jour du mois, en notre présence, et en présence des notaires et les mêmes témoins, beau-frère chevalier Jacques de Molay, grand maître de l'Ordre des Templiers est apparu personnellement et ayant prêté serment dans la forme et la manière indiquée ci-dessus , et ayant été diligemment interrogé, a déclaré qu'il a été 42 années ou environ depuis qu'il a été reçu comme un frère de ladite ordonnance par le frère chevalier-Hubert de Perraud, au Visiteur du temps de la France et du Poitou, dans Beune, diocèse de Autun, dans la chapelle de la commanderie des Templiers locale de ce lieu.  

En ce qui concerne le chemin de son initiation dans l'Ordre, il a dit que lui avoir donné le manteau du récepteur lui montra et lui a dit qu'il devrait dénoncer le Dieu dont l'image a été représenté sur la croix, et qu'il faut cracher sur la croix. Ce qu'il a fait, bien qu'il n'ait pas cracher sur la croix, par près de lui, selon ses mots. Il a également déclaré que cette dénonciation effectuée dans les mots, pas dans l'esprit. En ce qui concerne le péché de sodomie, le chef de l'adoration et la pratique de baisers illicites, il a soigneusement remis en question, a déclaré qu'il ne savait rien de cela.  

Lorsqu'on lui a demandé s'il avait avoué ces choses à cause de la demande, une récompense, de reconnaissance, de faveur, la peur, la haine ou la persuasion par quelqu'un d'autre, ou l'usage de la force ou de la crainte de la torture imminente, il a répondu qu'il n'en avait pas. Lorsqu'on lui a demandé si lui, après son arrestation, a été soumis à un interrogatoire et la torture, il a répondu qu'il n'en avait pas.  

Après cela, nous avons conclu pour prolonger la miséricorde de l'absolution de ces actes à son frère Jacques de Molay, le Grand Maître de ladite ordonnance, qui, dans la forme et de la manière décrite ci-dessus avait dénoncé en notre présence le décrit et toute autre hérésie, et jura en personne sur l'Evangile de saint du Seigneur, et demanda humblement la miséricorde de l'absolution, le rétablissement de l'unité avec l'Eglise et le réintégrer à la communion des fidèles et les sacrements de l'Église.  

Sur le même vingtième jour du mois, en notre présence, et en présence des notaires et les mêmes témoins, le frère Geoffroy de Gonneville librement et volontairement ratifié, approuvé et confirmé ses aveux signés qui lui a été lue dans sa langue maternelle, et a donné l'assurance qu'il avait l'intention de rester là et de maintenir à la fois cette confession et l'aveu qu'il a fait à une occasion différente devant l'inquisiteur ou inquisiteurs concernant les transgressions hérétiques précités, dans la mesure où il était en concordance avec la confession faite devant nous, les notaires et les témoins mentionnés ci-dessus, et que s'il ya quelque chose supplémentaire contenue dans la confession faite devant l'inquisiteur et inquisiteurs, comme il a été dit plus tôt, il ratifie, approuve et confirme cela.  

Sur le même vingtième jour du mois, en notre présence, et en présence des notaires et les mêmes témoins, beau-frère de précepteur Hugo de Perraud d'une manière similaire librement et volontairement ratifié, approuvé et confirmé ses aveux signés qui lui a été lue dans sa langue maternelle.  

Nous avons commandé Robert de Condet, prêtre du diocèse de Soissons, un notaire par la puissance apostolique, qui était parmi nous avec les notaires et les témoins énumérés ci-dessous, d'enregistrer et de rendre public comme preuve de ces confessions, ainsi que chaque chose décrite ci-dessus qui c'est déroulé en face de nous, les notaires et les témoins, et aussi tout fait par nous, exactement comme il est indiqué ci-dessus, et de le valider en attachant notre sceau.

Cela a été fait sur l'année, indiction, mois, jour, pontificat et le lieu indiqué ci-dessus, en notre présence et la présence d'Umberto Vercellani, Nicolo Nicolai de Benvenuto et le susmentionné Robert de Condet, et également maître Amise d'Orléans le ratif , notaires par la puissance apostolique, ainsi que pieux et vertueux frère Raymond, abbé du monastère bénédictin de Saint-Theofred, Annecy diocèse, maître Berard de Boiano, archidiacre de Troia, Raoul de Boset, confesseur et chanoine de Paris, et Pierre de Soire, superviseur de Saint-Gaugery en Cambrésis, qui ont été recueillies spécifiquement en tant que témoins.  
Et moi, Robert de Condet, prêtre du diocèse de Soissons, notaire par la puissance apostolique, observés avec d'autres notaires et des témoins chaque chose décrite ci-dessus qui a eu lieu en présence du révérend père susmentionnés seigneurs cardinaux prêtres, moi-même et d'autres notaires et témoins, ainsi que ce qui a été fait par leurs seigneuries. Sur les ordres de leurs seigneuries Les prêtres cardinaux, j'ai fait ce disque, et mis dans le formulaire officiel, et scellé avec mon sceau, après avoir été invité à le faire.  

Et aussi je, Umberto Vercellani, clerc de Béziers, notaire par la puissance apostolique, observés avec d'autres notaires et des témoins chaque chose décrite ci-dessus qui ont eu lieu en présence des seigneurs ci-dessus prêtres cardinaux, ainsi que ce qui a été fait par leurs seigneuries cardinaux presbytres comme il est indiqué ci-dessus en détail plus complet. Sur les ordres de ces prêtres cardinaux, pour plus d'assurance, j'ai écrit sous ce dossier et scella mon sceau.  

Et aussi je, Nicolo Nicolai di Benevento, notaire par décret apostolique, observés avec d'autres notaires et des témoins précités chaque chose décrite ci-dessus qui a eu lieu en présence des seigneurs ci-dessus prêtres cardinaux, ainsi que ce qui a été fait par leurs seigneuries tout comme il est indiqué ci-dessus en détail plus complet. Sur les ordres de ces prêtres cardinaux, pour plus d'assurance, j'ai écrit sous ce dossier et scella mon sceau.  

Et aussi je, Arnulphe d'Orléans appelle le ratif, notaire par la puissance de la Sainte Eglise Romaine, observés avec d'autres notaires précités et des témoins des aveux, des dépositions et autres chaque chose décrite ci-dessus qui ont eu lieu en présence des révérends pères susmentionné seigneurs cardinaux prêtres, ainsi que ce qui a été fait par leurs seigneuries tout comme il est indiqué ci-dessus en détail plus complet. Sur les ordres de ces prêtres cardinaux, comme un témoignage de la vérité, je l'ai écrit sous ce dossier et scella mon sceau, après avoir été invité à le faire.      



English translation of the Chinon Parchment  

 Investigation carried out by the fathers commissioned by Pope Clement V in the town of Chinon, diocese of Tours.  

Chinon, August 17-20, 1308  

In the name of the Lord, amen. We, Berengar, by the mercy of God cardinal presbyter of SS. Nereus and Achileus, and Stephanus, cardinal presbyter of St. Ciriacus in Therminis, and Landolf, cardinal deacon of St. Angel, declare through this official statement directed to all who will read it that since our most holy father and lord Clement, by divine providence the supreme pontific of the holy Roman and universal church, after receiving the word of mouth and also clamorous reports from the illustrious king of France and prelates, dukes, counts, barons and other subjects of the said kingdom, both noblemen and commoners, along with some brothers, presbyters, knights, preceptors and servants of the Templar order, had initiated an inquiry into matters concerning the brothers, [questions of Catholic faith] and the Rule of the said Order, because of which it suffered public infamy, the very same lord Pope wishing and intending to know the pure, complete and uncompromised truth from the leaders of the said Order, namely brother Jacques de Molay, grandmaster of the Order of Knights Tempar, brother Raymbaud de Caron, preceptor the commandaries of Templar Knights in Outremer, brother Hugo de Pérraud, preceptor of France, brother Geoffroy de Gonneville, preceptor of Aquitania and Poitou, and Geoffroy of Charny, preceptor of Normandy, ordered and commissioned us specifically and by his verbally expressed will in order that we might with diligence examine the truth by questioning the grandmaster and the aforementioned preceptors – one by one and individually, having summoned notaries public and trustworthy witnesses.  

And having acted according to the mandate and commissioned by the said Lord Supreme Pontific, we questioned the aforementioned grandmaster and the preceptors and examined them concerning the matters described above. Their words and confessions were written down exactly the way they are included here by the notaries whose names are listed below in the presence of witnesses listed below. We also ordered these things drawn up in this official form and validated by the protection of our seals.  

In the year of our Lord 1308, the 6th indiction, on the 17th day of August, in the 3d year of the pontificate of the said Pope Clement V, brother Raymbaud de Caron, preceptor the commandaries of Templar Knights in Outremer, was brought in front of us, the aforementioned fathers, to the town of Chinon of the Tours diocese. With his hand on the Holy Gospel of the Lord he took an oath that he would speak pure and complete truth about himself as well individuals and brothers of the Order, and about the Order itself, concerning questions of Catholic faith and the Rule of the said Order, and also about five particular individuals and brothers of the Order. Diligently interrogated by us about the time and circumstances of his initiation in the order he said that it was been forty-thee years or thereabouts since he had been knighted and admitted into the Templar Order by brother Roncelin de Fos, at the time preceptor of Provence, in the town of Richarenchess, in the diocese of Carpentras or Saint-Paul-Trois-Châteaux, in the chapel of the local Templar commandery. During the ceremony the patron said nothing to the novice that was not proper, but after the admittance a servant-brother came up to him whose name he does not recall, for he has been dead for a long time. He took him aside holding a small cross under his cloak, and when all the brothers exited and they remained alone, that is this brother-servant and the speaker, this brother-servant showed this cross to the speaker who does not recall whether it bore the effigy of the crucifix or not, but believes however, that there was a crucifix either painted or carved. And this brother-servant told the speaker: “You must denounce this one.” And the speaker, not believing himself to be committing a sin, said: “And so, I denounce.” That brother-servant also told the speaker that he should preserve purity and chastity, but if he could not do so, it was better to be done secretly than publicly. The speaker also said that his denunciation did not come from the heart, but from the mouth. Then he said that the next day he revealed this to the bishop of Carpentras, his blood relative, who was present in the said place, and the bishop told him that he had acted wrongly and committed a sin. Then the interrogated confessed on this account to the same bishop and was assigned penances with he completed, according to him.  

When asked about the sin of sodomy, he said that he never was a part of it neither performing or enduring, and that he never heard that knights Templar engaged in this sin, apart from those three knights who had been punished by perpetual incarceration in Castle Pilgrim. When asked whether the brothers of the said Order were received into the order in the same manner he was received into it, he replied that he did not know that, because he never initiated anyone himself and did not see anyone being accepted in the Order other than two or three brothers. Regarding them he did not know whether they denounced Christ or not. When he was asked about the names of these brothers he said that one had the name of Peter, but that he did not remember his family name. When he was asked how old he was when he was made brother of the said Order he replied that he was seventeen years of age or thereabouts. When he was asked about the spitting on the cross and about the worshipped head, he said that he knew nothing, adding that he had never heard any mention of that head until he heard the lord Pope Clement speak of it this past year. When he was asked about the practice of kissing, he replied that the aforementioned brother Roncelin kissed him on the mouth when he received him as a brother; he said that he knew nothing about other kisses. When he was asked whether he wanted to maintain what he had said during the confession, whether it was done according to the truth, and whether he had added anything untruthful or withheld anything that is truthful, he replied that he wanted to maintain what he had previously said in his confession, that it was truthful and that he neither added anything that was untruthful nor omitted anything that was truthful. When he was asked whether he had confessed due to a request, reward, gratitude, favor, fear, hatred or persuasion by someone else, or the use of force, or fear of impending torture, he replied that he did not.  

Afterwards, this very brother Raymbaud standing on his knees with his hands folded asked for our forgiveness and mercy regarding the abovementioned deeds. And as he pleaded so, brother Raymbaud denounced in our presence the abovementioned heresy, as well as any other heresy. For the second time he took an oath with his hand upon the Holy Gospel of our Lord in that he will obey the teachings of the Church, that he will maintain, uphold and observe the Catholic faith which the Roman Church maintains, upholds and proclaims, as well as teaches and requires of others to observe it, and that he will live and die as a faithful Christian. After this oath, by the authority of lord Pope specifically granted to us for that purpose, we extended to this humbly asking brother Raymbaud, in a form accepted by the Church the mercy of absolution from the verdict of excommunication that had been incurred by the aforementioned deeds, restoring him to unity with the Church and reinstating him for communion of the faithful and sacraments of the Church.  

Also, on the same day, brother knight Geoffroy of Charny, preceptor of commanderies of the Templar Order in Normandy, appearing personally in the previously described manner and form, in our presence, and in the presence of notaries, as well as witnesses, modestly swore with his hand on the Gospel of the Lord and was questioned about the manner of his reception into the said Order. He testified that it has well been forty years or thereabouts since he was accepted into the Order of Knights Templar by brother Amaury de la Roche, the preceptor of France in Étamps of the diocese of Sens, in the chapel of the local Templar commandery. Present at the ceremony were brother Jean le Franceys, preceptor of Pédenac, and nine, ten or so brothers of the said Order whom he all believed to be dead now. And then, once he had been accepted in the order and the cloak of the order had been placed on his shoulders, the brother who performed the ceremony took him aside within the same chapel and showed him a crucifix with an effigy of Christ, and told him that he should not believe in the Crucified, but should in fact denounce Him. Then the newly accepted brother at the demand of the said recipient denounced Him verbally, but not in his heart. Also, he said that at the time of his induction, the novice kissed the recipient on the mouth and in his chest through the garment as a sign of reverence.  

When asked whether brothers of the Templar Order while being initiated into the order were accepted in the same manner that he was, he said that he did not know. He also said that he himself received one brother into the said Order through the same ceremony through which he himself was accepted. Afterwards he accepted many others without the denunciation described earlier and in good manner. He also said that he confessed about the denunciation of the cross which he had done during the ceremony of induction and about being forced to do so by the brother performing the ceremony, to the Patriarch of Jerusalem of the time, and was absolved by him.  

When diligently questioned regarding the spitting on the cross, the practice of kissing, the vice of sodomy and the worshipped head, he replied that he knew nothing of it. Further interrogated, he said that he believed that other brothers had been accepted into the Order in the same manner that he was. He said however that he did not know that for sure since when these things took place the newly received were taken aside so that other brothers who were present in the building would neither see nor hear what went on with them. Asked about the age that he was in when accepted into the said Order, he replied that he was sixteen, seventeen or thereabouts.   When he was asked whether he had said these things due to a request, reward, gratitude, favor, fear, hatred or persuasion by someone else, or the use of force, or fear of impending torture, he replied that he did not.

When he was asked whether he wanted to maintain what he had said during the confession, whether it was done according to the truth, and whether he had added anything untruthful or withheld anything that is truthful, he replied that he wanted to maintain what he had previously said in his confession during which he had only said what was true, that what he said was according to the truth and that he neither added anything that was untruthful nor omitted anything that was truthful.

After this, we concluded to extend the mercy of absolution for these acts to brother Geoffroy, who in the form and manner described above had denounced in our presence the described and any other heresy, and swore in person on the Lord’s Holy Gospel, and humbly asked for the mercy of absolution, restoring him to unity with the Church and reinstating him for communion of the faithful and sacraments of the Church.  

On the same day, in our presence and the presence of notaries, as well as the witnesses listed below, brother Geoffroy de Gonneville personally appeared and was diligently questioned about the time and circumstances of his reception and about other matters described above. He replied that it has been twenty eight years or thereabouts since he was received as a brother of the Order of the Knights Templar by brother-knight Robert de Torville, preceptor of the commandaries of the Templar order in England , in the city of London , at the chapel of the local commandery. And this receptor, after bestowing the cloak of the Knights Templar upon the this newly received member, showed him the cross depicted in some book and said that he should denounce the one whose image was depicted on that cross. When the newly received did not want to do so, the receptor told him multiple times that he should do so. And since he completely refused to do it, the receptor, seeing his resistance, said to him: “Will you swear to me that if asked by any of the brothers you would say that you had made this denouncement, provided that I allow you not to make it?” And the newly received answered “yes”, and promised that if he was questioned by any of the brother of the said Order he would say that he had performed the said denouncement. And, as he said, he made no denouncement otherwise. He also said that the said receptor told him that she should spit on the described cross. When the newly received did not wish to do so, the receptor placed his own hand over the depiction of the cross and said: “At least spit on my hand!” And since the received feared that the receptor would remove his hand and some of this spit would get on the cross, he did not want to spit on the hand with the cross being near.  

When diligently questioned regarding the sin of sodomy, the worshipped head, about the practice of kissing and other things for which the brothers of the said order received a bad reputation, he said that he knew nothing. When asked whether other brothers of the Order were accepted into the Order in the same way as he was, he said that he believed that the same was done to others as it was done to him at the time of his described initiation.  

When he was asked whether he had said these things due to a request, reward, gratitude, favor, fear, hatred or persuasion by someone else, or the use of force, or fear of impending torture, he replied that he did not. After this, we concluded to extend the mercy of absolution for these acts to brother Geoffroy de Goneville, who in the form and manner described above had denounced in our presence the described and any other heresy, and swore in person on the Lord’s Holy Gospel, and humbly asked for the mercy of absolution, restoring him to unity with the Church and reinstating him for communion of the faithful and sacraments of the Church. Then on the nineteenth day of the month, in our presence, and in the presence of notaries and the same witnesses, brother Hugo de Pérraud, preceptor of Templar commanderies in France appeared personally and took an oath on the Holy Gospel of the Lord, placing his hand upon it in the manner described above. This brother Hugo, having sworn as indicated, and being diligently questioned said about the manner of his initiation that he was received in London at local Templar commandary, in its church. It was forty six years ago this past feast of St. Magdalene. He was inducted as a brother of the Order by brother Hubet de Perraud, his own father, a Visitator of the Templar commanderies in France and Poitou , who placed upon his shoulders the cloak of the said Order. This having been done, some brother of the said Order, by the name of John, who afterwards became preceptor of de La Muce, took him to a certain part of that chapel, showed him a cross with an effigy of Christ, and ordered him to denounce the One whose image was depicted there. He refused, as much as he could, according to him. Eventually, however, overcome by fear and menaces of brother John, he denounced the One whose image was depicted there only once. And although brother John multiple times demanded that he spit on that cross, he refused to do so.  

When asked whether he had to kiss the receptor, he said that he did, only on the mouth. When asked about the sin of sodomy, he replied that it was never imposed on him and he never committed it. When asked whether he accepted others into the Order, he replied that he did many times, and that he accepted more people than any other living member of the Order.  

When asked about the ceremony through which he accepted them, he said that after they were received and given the cloaks of the Order, he ordered them to denounce the crucifix and to kiss him at the bottom of the back, in the navel and then on the mouth. He also said that he imposed on them to abstain from partnership with women, and, if they were unable to restrain their lust, to join themselves with brothers of the Order.  

He also said under oath that the aforementioned denunciation, which he performed during initiation, as well as other things described that he demanded from those received by him, was done in word only, and not in spirit. When asked why he felt pained and did not perform in spirit the things that he did, he replied that such were the statutes or rather traditions of the Order and that he always hoped that this error would be removed from the said Order.  

When asked whether any of the members newly received by him refused to perform the described spitting and other dishonest things listed above, he replied that only few, and eventually all did as ordered. He also said that although he himself instructed brothers of the order whom he initiated to join with other brothers, nevertheless he never did that, nor heard that anyone else commit this sin, except for the two or three brothers in Outremer who were incarcerated for this in Castle Pilgrim.  

When asked whether he knew if all brothers of the said Order were initiated in the same manner as he initiated others, he said that he did not know for sure about others, only about himself and those whom he initiated, because brothers are initiated in such secrecy that nothing can be known other than through those who are present. When asked whether he believed that they were all initiated in this manner, he said that he believed that the same ritual is used while initiating others as it was used in his case and as he himself administered when he received others.  

When asked about the head of an idol that was reportedly worshiped by the Templars, he said that it was shown to him in Montpellier by brother Peter Alemandin, preceptor of that place, and that this head remained in possession of brother Peter.  

When asked how old he was when accepted into the said Order, he replied that he heard his mother say that he was eighteen. He also said that previously he had confessed about these things in the presence of brother Guillaume of Paris, inquisitor of heretical actions, or his deputy. This confession was written down in the hand of the undersigning Amise d’Orleans and some other notaries public. He wishes to maintain that confession, just as it is, as well as maintain in the present confession that which is in concord with the previous one. And if there is anything additional in this confession in front of the Inquisitor or his deputy, as has been said above, he ratifies, approves and confirms it.  

When he was asked whether he had confessed to these things due to a request, reward, gratitude, favor, fear, hatred or persuasion by someone else, or the use of force, or fear of impending torture, he replied that he did not. When he was asked whether he, after being apprehended, was submitted to any questioning or torture, he replied that he did not.  

After this, we concluded to extend the mercy of absolution for these acts to brother Hugo, who in the form and manner described above had denounced in our presence the described and any other heresy, and swore in person on the Lord’s Holy Gospel, and humbly asked for the mercy of absolution, restoring him to unity with the Church and reinstating him to communion of the faithful and sacraments of the Church.  

Then on the twentieth day of the month, in our presence, and in the presence of notaries and the same witnesses, brother-knight Jacques de Molay, grandmaster of  the Order of Knights Templar appeared personally and having sworn in the form and manner indicated above, and having been diligently questioned, said it has been forty-two years or thereabouts since he was received as a brother of the said Order by brother-knight Hubert de Pérraud, at the time Visitator of France and Poitou, in Beune, diocese of Autun, in the chapel of the local Templar commandery of that place.  

Concerning the way of his initiation into the Order, he said that having given him the cloak the receptor showed to him and told him that he should denounce the God whose image was depicted on that cross, and that he should spit on the cross. Which he did, although he did not spit on the cross, by near it, according to his words. He also said that performed this denunciation in words, not in spirit. Regarding the sin of sodomy, the worshipped head and the practice of illicit kisses, he, diligently questioned, said that he knew nothing of that.  

When he was asked whether he had confessed to these things due to a request, reward, gratitude, favor, fear, hatred or persuasion by someone else, or the use of force, or fear of impending torture, he replied that he did not. When he was asked whether he, after being apprehended, was submitted to any questioning or torture, he replied that he did not.  

After this, we concluded to extend the mercy of absolution for these acts to brother Jaques de Molay, the grandmaster of the said order, who in the form and manner described above had denounced in our presence the described and any other heresy, and swore in person on the Lord’s Holy Gospel, and humbly asked for the mercy of absolution, restoring him to unity with the Church and reinstating him to communion of the faithful and sacraments of the Church.  

On the same twentieth day of the month, in our presence, and in the presence of notaries and the same witnesses, brother Geoffroy de Gonneville freely and willingly ratified, approved and confirmed his signed confession that was read to him in his native tongue, and gave assurances that he intended to stand by and maintain both this confession and the confession he made on a different occasion in front of the Inquisitor or inquisitors regarding the aforementioned heretic transgressions, in as much as it was in concordance with the confession made in front of us, the notaries and the aforementioned witnesses; and that if there is something extra contained in the confession made in front of the Inquisitor and inquisitors, as it was said earlier, he ratifies, approves and confirms that.   On the same twentieth day of the month, in our presence, and in the presence of notaries and the same witnesses, brother-preceptor Hugo de Perraud in a similar way freely and willingly ratified, approved and confirmed his signed confession that was read to him in his native tongue.  

We ordered Robert de Condet, cleric of the diocese of Soissons, a notary by apostolic power, who was among us together with notaries and witnesses listed below, to record and make public as evidence these confessions, as well as each and every thing described above that occurred in front of us, the notaries and the witnesses, and also everything done by us, exactly as it is shown above, and to validate it by attaching our seal.  

This was done on the year, indiction, month, day, pontificate and the place indicated above, in our presence and the presence of Umberto Vercellani, Nicolo Nicolai de Benvenuto and the aforementioned Robert de Condet, and also master Amise d’Orleans le Ratif, notaries public by the apostolic power, as well as pious and distinguished brother Raymond, abbot of the Benedictine monastery of St. Theofred, Annecy diocese, master Berard de Boiano, archdeacon of Troia, Raoul de Boset, confessor and canon from Paris, and Pierre de Soire, overseer of Saint-Gaugery in Cambresis, who were gathered specifically as witnesses.  

And I, Robert de Condet, cleric of the diocese of Soissons, notary by apostolic power, observed with other notaries and witnesses each and every thing described above that occurred in the presence of the aforementioned reverend fathers lords cardinal presbyters, myself and other notaries and witnesses, as well as what was done by their lordships. On the orders from their lordships the cardinal presbyters, I made this record, and put in the official form, and sealed it with my seal, having been asked to do so.  

And also I, Umberto Vercellani, cleric of Béziers, notary by apostolic power, observed with other notaries and witnesses each and every thing described above that occurred in the presence of the aforementioned lords cardinal presbyters, as well as what was done by their lordships cardinal presbyters just as it is shown above in fuller detail. On the orders from these cardinal presbyters, for further assurance, I wrote underneath this record and sealed it with my seal.  

And also I, Nicolo Nicolai di Benevento, notary by apostolic decree, observed with other aforementioned notaries and witnesses each and every thing described above that occurred in the presence of the aforementioned lords cardinal presbyters, as well as what was done by their lordships just as it is shown above in fuller detail. On the orders from these cardinal presbyters, for further assurance, I wrote underneath this record and sealed it with my seal.  

And also I, Arnulphe d’Orléans called le Ratif, notary by the power of the Holy Roman Church, observed with other aforementioned notaries and witnesses confessions, depositions and other each and every thing described above that occurred in the presence of the aforementioned reverend fathers lords cardinal presbyters, as well as what was done by their lordships just as it is shown above in fuller detail. On the orders from these cardinal presbyters, as a testimony of truth, I wrote underneath this record and sealed it with my seal, having been asked to do so.  

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